Rêveries

En 1901 August Strindberg écrit Le Songe (Ett Drömspel), en 2000 Ivan Viripaev écrit Les Rêves (Sny), son premier texte, et s’échappe de sa Sibérie natale. Entre les deux, un continent, un siècle d’histoire, et pourtant la même envie d’écrire un théâtre du rêve pour parler de la difficulté de l’existence… mais aussi d’une porte à ouvrir.

Porte échappatoire ornée d’un trèfle, porte de libération dessinée à la craie sur le mur. Porte à franchir ensemble.

Alors lier ces deux textes pour en faire un seul rêve, assumer la différence de réponse, de style, d’adresse, et jouer avec l’écho de l’un dans l’autre.  Comme deux voix d’un même chant.

Rêveries… ou le château qui pousse [extraits]

montage de texte d’après Rêveries d’August Strindberg et Les Rêves d’Ivan Viripaev/
Traduction: Elisa Gravelot, Tania Moguilevskaia et Gilles Morel (éd. solitaires intempestifs)/
Jeu: Anne-Laure Rampon, Adeline Raynaud, Jaufré Saint-Gal de Pons, Julie Serrano et Léo Gaubert/
Décors projetés: Giulia Zanvit/

Création lumière: Yohann Allais-Barillot/
Mise en scène: Léo Gaubert/

Théâtre onirique – durée 1h20